Les enfants nés à compter du 1er janvier 2018 seront protégés contre 11 maladies aux conséquences graves, entre 0 et 2 ans.
En pratique, l’extension à 11 vaccins obligatoires représente 10 injections pour les enfants, étalées sur 2 ans. Au moins 70% des enfants connaissent déjà ces 10 injections sur 2 ans et 80% plus de 8 injections.
Se vacciner, c’est se protéger contre des maladies infectieuses transmissibles et graves mais c’est aussi un acte solidaire et citoyen. Se protéger, c’est aussi protéger les autres. Une politique vaccinale efficace doit toucher le plus grand nombre
pour protéger la collectivité.
En plus des 3 vaccins actuellement obligatoires :
- la diphtérie,
- le tétanos
- la poliomyélite
S’ajoutent :
- l’haemophilius influenzae B (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites),
- la coqueluche,
- l’hépatite B,
- la rougeole,
- les oreillons,
- la rubéole,
- le méningocoque C (bactérie provoquant des méningites),
- le pneumocoque (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites)
En pratique, l’extension à 11 vaccins obligatoires représente 10 injections pour les enfants, étalées sur 2 ans. Au moins 70 % des enfants connaissent déjà ces 10 injections sur 2 ans et 80 % plus de 8 injections.
Certaines maladies peuvent avoir des conséquences dramatiques sur la santé. Plusieurs de ces maladies, principalement celles dont la vaccination est obligatoire, ont disparu ou presque disparu grâce à la vaccination.
La sécurité des vaccins est assurée par un double contrôle du fabricant et de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé.
En faisant vacciner son enfant, son organisme est protégé contre les risques d’infection. Cela empêche les maladies de se propager et cela protège les populations les plus fragiles.